L'armure post-protoclassique (Modèle III Version I, II, III, IV)

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Modèle III, Version I

My image L’armure post-protoclassique, modèle III, version I est légère bien qu’elle soit faîte de la matière la plus dure connue par l’homme. En incorporant dans Tales of Suspense #55 cet alliage dans une conception ingénieuse qui mixe la pointe de la haute technologie avec une protection type côte de maille des chevaliers de l’époque, Stark a construit une armure qui lui confère un maximum de protection pour un minimum de poids. Fine, flexible et légère, l’armure est trempée à une température de très haut degré pour une résilience qui soit la mieux adaptée au métal. Ce nouveau maillage donne à l’armure plus de résistance et également un meilleur confort quand on la revêt.

D’une conception intelligente, le modèle III guide Iron Man à se rapprocher du look classique qui a dominé sa carrière en introduisant le premier poitrail avec épaulettes. L’armure est également doté d’un nouveau casque et comprend maintenant des protège-hanches.

Le casque est également plus léger, bien qu’il soit modifié pour avoir une plaque faciale qu’on puisse soulever tout comme la précédente, les rivets semblaient continus. Dans le casque était aussi intégré un masque à oxygène comprenant une réserve de 15 minutes. Des filtres le protègent aussi de l’empoisonnement au gaz.

Le modèle III conserve le processus modulaire d’enlèvement de l’armure. Des sections escamotables, des cellules de bras et de jambes, glissant, s’étirant et se bloquant sur place avec la force magnétique. L’armure portable est conservée dans un attaché-case et après s’être entrainé, Stark pouvait enfiler l’armure en quelques secondes. (A condition de garder l’armure près de lui, c’est intéressant de savoir qu’autour de cette période, Stark commença à cacher des copies de l’armure dans divers endroits autour des usines en cas d’urgence).

Une des pièces les plus importantes de l’équipement de ce modèle est la ceinture flexible qui abrite la plupart des plus puissants accessoires d’Iron Man dont : le traceur de lumière noire (caché dans les caches de côté, traque les sources d’énergie dans l’air) ; le rayon inverseur (un pistolet monté au poignée pour repousser d’autres rayons) ; des ventouses ; un brouilleur miniature (interfère avec l’électronique comme les systèmes de guidage) ; des blasters électroniques. Un panneau derrière la boucle de la ceinture cache plusieurs équipements, la plupart s’adaptant aux supports magnétiques des poignées.

Alors que la puissance des armures augmentent, il était nécessaire d’assurer plus de production d’énergie. La vie de Stark dépendait également des niveaux d’énergie de l’armure, qui était sans cesse drainée jusqu’à son minimum plusieurs fois. Pour pallier à ce problème, il installa un générateur miniature. Alors que ses activités en tant que héros continuaient de mettre son cœur en danger, l’aptitude de l’armure à se recharger rapidement sauva la vie de Stark à maintes occasions. Forçant souvent sur ses transistors, ses puissants exploits expliquent que la durée de vie de ses recharges variait et était souvent faible. Le vol ou une augmentation rapide de sa vitesse drainait aussi fortement sa puissance.

Afin de survivre dans des situations où l’armure se retrouvait à court d’énergie, Stark ajouta à cette dernière de multiples systèmes et sources de puissance. Le poitrail de survie, qui se réduisait fréquemment en taille, possédait sa propre alimentation d’énergie et était capable de s’alimenter dans les réserves de puissance si nécessaire. L’armure elle-même avait des batteries qui pouvaient être rechargées grâce au générateur intégré. Si elles étaient au maximum, le même générateur pouvait recharger le système du poitrail à pleine puissance en quelques secondes. Malheureusement, l’héroïsme de Stark en tant qu’Iron Man requérait souvent de fortes puissances sur de longues périodes de temps qui montrait que les systèmes s’avéraient souvent inutiles.

Ses problèmes d’énergie ont continués jusqu’à ce qu’il trouve la solution, pour un moment du moins, en ajoutant des transistors supplémentaires dans l’armure. Mais quand son cœur devint dépendant de la suralimentation que l’armure entière lui fournissait, il découvrit qu’il ne pourrait jamais l’enlever sans mourir. Plus tard, Stark construisit un transistor principal avec un rendement trois fois supérieur au précédent. Après l’avoir installé dans son système de poitrail, il fut capable d’enlever l’armure, le poitrail lui fournissait maintenant assez d’énergie pour faire battre son cœur fatigué.

Les capteurs comprenaient : un radar ; un localisateur de fréquence ; un « spider-sens » électronique (voir dessous) ; un faisceau sonar scanner (opérant à partir du panneau de la ceinture, le son de chaque écho était automatiquement analysé par le premier ordinateur de bord – un système de circuit imprimé miniaturisé).

Les équipements de communications comprenaient : une radio à deux canaux (finalement, un petit vidéophone tenu dans la main) avec une antenne télescopique dans l’épaule. Des transistors complémentaires pour le système de radio étaient dissimulés dans les protège-hanches de l’armure.

Les bottes à réactions étaient maintenant comprises dans l’équipement standard, mais la stabilité au vol fut améliorée sur le modèle III avec l’ajout d’un gyroscope miniature sur le revers des bottes. Un kit de survie fut placé dans le rabat supérieur de la botte droite.

Renforcés, tout en maintenant les goujons des poings, les nouveaux gantelets permirent à Iron Man de tenir et d’étouffer une bombe en cours d’explosion. Les blocs d’alimentation intégrés conférèrent aux poings une force d’une vitesse jamais vu sur les anciens modèles. Le gant droit contient une lame rétractable en diamant.

Les nouveaux gants contiennent aussi des répulseurs améliorés que Stark utilise en faisceaux d’électrons. (La conception des prototypes relança un ancien défi qui était de surpasser le « faisceau type lance à incendie ». Stark résolut le problème en utilisant un faisceau à impulsion et une ancienne forme de lentilles adaptatives.)

Le nouveau poitrail du modèle III comprend un projecteur variable de puissance et un mono-faisceau amélioré, qui grâce aux dernières technologies des répulseurs pouvait tirer jusqu’à cinquante mètres environ.

Accessoires spéciaux de ce costume

Un détecteur de radar intégré, une alarme de proximité qui donne à Iron Man une sorte de « spider-sens ». Un capteur de sensibilité sur l’armure sonnant régulièrement à chaque fois que quelqu’un s’approche furtivement de lui.

Armements

Un mono-faisceau monté sur la poitrine, des rayons répulseurs aux paumes de 40 mm.

Modèle III, Version II

My image Dans Tales of Suspense #64, Tony Stark met à jour le modèle III avec l’introduction d’une variante du modèle II. Toujours aussi vulnérable à l’acide, ce modèle fut la plus puissante armure, qui permit à Iron Man de garder le dessus de ses plus puissants ennemis. Avec l’avantage de ce costume, Stark s’est tellement entrainé qu’il peut enfiler l’armure aussi vite que s’il enfilait une chemise.

L’augmentation de la puissance rend le modèle III, version II, deux fois plus rapide que l’armure dorée (modèle I, version II). Un commutateur de rendement principal – dans le panneau de contrôle de la boucle de la ceinture – arrête l’armure. Les améliorations des communications comprennent l’utilisation d’une chaîne spéciale ultra-sonique pour les contacts/communications radio et l’installation d’une émission radio (AM/FM).

Du côté de l’armement, la version II comprend un éclair de rayon électrique assommant. Stark a ajouté un accessoire de forage sur sa main droite comme amélioration de ces anciens forêts aux mains.

Un nouvel accessoire de protection fut ajouté à l’attaché-case comme mesure de sécurité extrême. Si la valise est manipulé par les mauvaises mains, il explose.

Après s’être confronté à Iron Man en personne (l’armure étant porté par le voleur Weasel Wills à l’époque), le combat fit voir à Tony Stark quelques faiblesses, parce que avant qu’il n’ait la chance de détruire la variante du modèle II, il remodifia le modèle II.

Modèle III, Version III

Le modèle III, version III, débuta dans Tales of Suspense #66, munie alors d’un nouveau casque et de quelques variations qui le rapprochait de plus en plus de l’armure classique d’Iron Man. Des améliorations dans les aptitudes du costume ont été ajoutés – incorporant plus de brillantes inventions de Stark dans l’armure (mais il n’y avait pas assez de changement pour constituer un changement de modèle finalement).

Le nouveau casque, sans rivets, était une nécessité après la vague de crime de Wills dans le costume d’Iron Man, mais quelques changements furent faites également à l’intérieur. Le support d’oxygène interne reçut une amélioration. Dans la version III, l’oxygène est fourni par des cylindres d’O2, chacun durant 30 minutes. Pour plus d’air, Iron Man insére simplement un nouveau cylindre.

Le nouveau faisceau du poitrail a un capteur photo qui s’active automatiquement dans le noir. Il peut également être éteint au toucher. La configuration de l’ultra balise est aussi brillante que le soleil. Et en ajustant les prismes de l’ultra phare, Iron Man peut obtenir un bouclier invisible.

Une antenne radio rétractable dans l’épaule droite améliore le système de communications d’urgence. Un commutateur sort de l’épaule et peut être utilisé même quand l’armure est quasiment en panne parce qu’elle a sa propre puissance grâce à un transistor.

Le nouvel attaché-case a un piège de gaz soporifique installé. Des électro-cellules cachées dans les poignées examinent les empreintes digitales de quiconque porte l’attaché – si les empreintes ne sont pas de Stark, le gaz soporifique s’évacue.

Comme les précédents costumes, cette armure peut magnétiser son bouclier extérieur, permettant à Iron Man de se coller à des objets volants comme des avions. Encore et encore, Tony pousse son système jusqu’à la limite, ne se rechargeant pas – même quand il n’est pas Iron Man – jusqu’au dernier moment. Même si le reste de ses transistors se rechargent eux-mêmes, son poitrail défaillant devient problématique encore une fois. Une fois, il devait même coller son cordon de rechargement d’urgence dans un allume-cigarette de voiture juste pour rester vivant. Finalement, Tony développa encore une fois d’autres améliorations pour le système de poitrail qui pourrait l’aider pendant un bref moment.

Accessoires spéciaux de ce costume

Localisé dans la partie basse arrière de sa plaque thoracique, il y a un kit chimique. En tirant un tube du dos et en mélangeant divers éléments chimiques gardés dans l’armure, Iron Man peut projeter divers bains chimiques, y compris un mélange de liquide ardent.

Armements

Répulseurs ; faisceau thoracique avec une balise ultra (avec bouclier) ; des bombes lacrymogènes (dans le compartiment de sa ceinture) ; un éjecteur de vapeur (tire des écrans de fumées) ; un pistolet à proton (dans sa ceinture) ; un pistolet d’ions négatifs (peut dérober les ennemis en armure de la puissance de leur armure) ; rayon inverseur (inverse les énergies de n’importe quel objet mécanique) ; un projecteur de vapeur (tire une brume reflétante qui agit comme un miroir, reflétant les lasers) ; des petites bombes à retardement adhésives (petits « bidules » avec 15 secondes de durée) ; les doigts pouvant tirer des éclairs électriques.

Modèle III, version IV-A

My image Dans Tales of Suspense #75, alors qu’il démantelait la nature monstrueuse de Happy, l’armure d’Iron Man devint rouge suite à la rétroaction de l’intensificateur d’énervement, nécessitant un changement d’armure.

D’un niveau cosmétique, ce costume est le même que sa longue ligne de prédécesseurs. Il garde la forme du casque, des bottes et des gants – Stark garda même les poings cloutés. Mais à l’intérieur la version IV-A fait un autre bond dans le domaine des micro-circuits et la génération de puissance.

Bien qu’à cette époque, la santé de Stark fut assez bonne pour qu’il puisse retirer le poitrail pendant deux heures, la conservation d’énergie domina toujours les conceptions de son armure. Tony ajouta un complément de recharges automatiques à son costume. S’il restait ou demeurait relativement inactif, l’armure pouvait temporairement se recharger elle-même grâce aux petits générateurs. Ces générateurs comprenaient aussi une sorte de turbo qui permettait à Iron Man de recharger son costume en un rien de temps. La version IV-A comprenait aussi des blocs d’alimentations qu’on pouvait retirer qu’Iron Man inter-changeait quand nécessaire. Après la commutation, l’armure était prête pour le combat, se propulsant avec la force d’un millier de transistors.

Comme avec les premiers costumes, cette armure pouvait être plié et rangé dans un attaché-case. (Le fameux attaché-case de Stark contenait aussi un chargeur temporaire à l’intérieur. Bien que pas si puissant que le chargeur dans son labo, il était efficace en remplacement). En pressant un bouton caché dans la protection droite des hanches, Iron Man provoqua la rétractation des collants dans ses bottes grâce à ses transistors magnétiques. Un système similaire rétractait les sections des bras dans les gants.

Fabriquée avec des transistors et comprenant les circuits imprimés les plus délicats à ce jour, la version VI-A était la plus dure. L’armure absorbait d’énormes coups et protégeait Tony de plusieurs chutes élevées. De plus, il y avait toujours quelqu’un dehors avec un meilleur piège. Le modèle III, version IV fut retiré après une journée fatigante à combattre le seigneur de guerre Kang et Namor le Prince des Mers.

Le costume contenait chaque ancienne arme que le modèle III possédait. Les rayons répulseurs furent améliorés. Maintenant, ils pouvaient dans un barrage concentré d’éclairs, ils pouvaient éteindre des flammes.

Stark modifia la conception des mini-gyroscopes dans l’assemblage de la botte droite, rendant l’armure plus agile.

Note

Stark a apparemment expérimenté un ensemble différent de gantelets. Quelques fois (autour du TOS #79), Iron Man apparait sans pointes sur ses gants (ou peut-être est-ce un simple oubli du dessinateur.)

Modèle III, version IV-B

Faite de fer flexible, comme les autres , le modèle IV-B est pliable sans user de puissance. Porté dans une serviette lisse, avec un chargeur intégré, l’armure est conservée dans son niveau de puissance optimale.

Avec ce costume, nous voyons un certain nombre d’engins/d’armes d’urgence d’Iron Man qui étaient fameuses lors de sa période « Tales of Suspense ». A l’intérieur de l’épaulette droite, il y avait un petit compartiment secret qui contenait un échantillon de fréon instable. Quand il était brisé, le contenu de l’échantillon gelait instantanément l’air solide et les vapeurs de gaz des pierres brulantes, permettant à Iron Man d’emprisonner des choses (même Titanium Man). Il avait un forêt de diamant caché dans un compartiment secret du poitrail. Son protège-hanche droit contenait des fils supplémentaires pour le bricolage.

Stark ajouta des réacteurs puissants à ses bottes d’Iron Man. Activés avec un cadran sur le poignée gauche, ils créèrent une poussée beaucoup plus puissante que les réacteurs habituels seuls (L’effet fut temporaire et pouvait seulement être utilisé irrégulièrement). Et bien que les bottes furent plus performantes qu’avant, les réacteurs standards pouvaient être obstrués par les éclats ou les débris.

Mais l’amélioration clé de la version IV-B fut le retour des patins à roulettes d’Iron Man. En tournant chaque disque d’oreille à 45°, Iron Man provoqua le dégagement de ses roues de patins. Les patins furent alimentés par des moteurs intégrés lui permettant de créer des cercles autour de ses opposants.

Les systèmes de communications internes pouvaient surveiller les émissions radio/télévisés, tandis qu’un précédent ordinateur de navigation pouvait être régler sur une destination et faire voler l’armure quelque part tandis que l’occupant se relaxait.

Accessoire spécial de sécurité de ce costume

Sur la couture de l’épaulette gauche, il y avait un bouton de contrôle manuel qui pouvait réduire la puissance de l’armure, l’éteindre et la mettre sous contrôle si nécessaire.

Le modèle IV-B fut détruit dans Tales of Suspense #85 dans les mains du Mandarin, tandis qu’elle était porté par Happy.

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