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Première apparition dans Tales of Suspense #39.
Réalisée à partir de pièces de rechange, c’est un miracle que la première armure d’Iron Man ait fonctionnée. Construite dans la hâte afin de pouvoir s’évader, elle était volumineuse, grise cuirassé et probablement de faible technologie. Cela dit, cette armure était une prouesse dans le domaine de la technologie qui était, malgré l’époque, avancée et qui a permis de lancer la carrière d’Iron Man.
Le costume de survie de Tony Stark était contrôlé par des transistors électroniques puissants à la miniaturisation très pointue et avaient une paire d’années d’avance comparé à la technologie de l’époque. Ces transistors sont le cœur de l’armure d’Iron Man, permettant non seulement une atténuation mais aussi une amplification massive d’énergie. Le contrôle de l’armure était par le biais de circuits de transistors révolutionnaires coordonnés aux ondes cérébrales de Stark (comme les contrôles cérébraux de son propre corps lui permettant de bouger par exemple). Tony pouvait contrôler l’armure avec juste une simple pensée. L’exosquelette électronique augmentait la force de Stark à des niveaux surhumains (en employant la détection de mouvements corporels). Les vrais mouvements étaient réalisés par une armature de moteurs plats linéaires à courant continu.
La première armure avait un intérieur semi-rigide avec un extérieur métallique maillé fait de fer ordinaire. Fin et flexible, le corps de fer moulé pouvait résister à de petits tirs d’armes à feu, de coups de fusil et de tirs lasers. Grâce à la connaissance de Stark sur les transistors microscopique, l’armure pouvait être pliée à volonté, compactée en un paquet assez petit pour tenir dans un attaché-case. C’est une prouesse stupéfiante quand vous considérez que Stark pouvait enfiler l’armure en exactement une minute.
La plus importante particularité de ce costume est sa tache d’origine, de fonctionner comme un accessoire de survie pour Tony Stark. Le principal composant, le plastron, est un pacemaker et un puissant aimant. Le côté pacemaker permet de faire battre le cœur affaiblit de Stark, tandis que l’aimant retient en place l’éclat qui est logé dans son cœur (empêchant d’autres déchirements dans son cœur). A cause de sa condition de malade, Stark ne pouvait jamais enlever le plastron, qu’il portait sous ses vêtements. (Il gardait le reste de l’armure dans un attaché-case qui avait un compartiment secret étanche aux rayons X où il cachait le costume. Cette armure pouvait être enlevée de la mallette, rapidement dépliée et fixée au noyau d’ensemble pour sa transformation en Iron Man). L’effort et la pression sur l’armure produisent un effort sur le cœur de Stark. Egalement, une chute de puissance de l’armure s’est avéré lui être quasiment fatale dans de nombreuses occasions. Heureusement, ce costume pouvait être rechargé via des prises murales standards, ce qui était plutôt une fonction pratique alors que la première armure s’avérait être plutôt gourmande en énergie, l’équivalent en super-héros d’un énergivore.
La plus puissante arme de cette première armure était la puissance du « magnétisme inversée », une sorte d’ancien répulseur. En inversant la charge d’un isolant turbo-magnétique, et ensuite en utilisant un ingénieux transistor pour augmenter sa puissance de répulsion un millier de fois, Tony Stark pouvait utiliser la puissance du « magnétisme inversé » pour stopper les criminels.
Les réacteurs à pression atmosphérique alimentés par les transistors sur la semelle des bottes permettaient un vol de courte portée. Naviguer dans ces vols fut réalisable grâce aux mouvements corporels.
Bien que les précédents équipements de communications ne soient pas documentés pour ce modèle, Iron Man avait la possibilité d’intercepter la radio et les émissions à circuits fermés.
Une ceinture d’accessoires qui contient plusieurs accessoires ingénieux comme le gantelet à ventouses et une scie électrique miniature qui pouvait venir à bout de tout (monté sur l’index du gant).
Un générateur de rayons à proton monté sur la poitrine (une petite portée de plusieurs mètres) ; les anciens répulseurs (basés sur le magnétisme inversé) ; des lance-flammes dans les paumes ; des projectiles explosifs situés au bout des doigts.