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La réponse du gouvernement au problème "super héros".
Apparue pour la première fois dans Iron Man #230 comme appareil de simulation. Suspendue sur un rail au plafond, elle permettait d’appréhender virtuellement les simulations de combat. Cependant, il n’y avait rien de virtuel dans la raclée que l’armure Firepower s’apprêtait à donner à notre Avenger en armure préféré. Cette armure était un véritable arsenal, redoutable sur terre comme dans les airs – mais plus inquiétant encore, c’était la revanche faite instrument d’Edwin Cord.
L’armure Firepower était une sacrée dure à cuire. Bien plus large qu’un homme, sans parler d’Iron Man, cette énorme armure de combat (surnommée "smoking de métal") était en plus composée d’unités Stark. Mais à ce moment, les militaires avaient eu le temps d’étudier les packs Negator d’Iron Man (notamment ceux utilisés sur les missiles Stingray) et en avait protégé l’armure Firepower de leurs néfastes effets.
Elle était si imposante que Jack Taggert, le conducteur de l’armure, devait se faire introduire dedans via une grue spécialement conçue à cet effet, avant d’y être hermétiquement enfermé.
Le système Firepower était incroyablement puissant. Une fois équipé de l’armure, Taggert pouvait chiffonner de l’acier comme si c’était du carton. Et se frayer un chemin à travers une montagne avec une facilité déconcertante. L’étreinte de ses mains était celle d’un étau, une prise que même notre vieux Tête de Fer n’aurait pu se défaire. Sa puissance lui a même permis d’exploser la fameuse armure Silver Centurion, la réduisant en pièces.
En ce qui concerne Iron Man, il ne pouvait guère faire grand-chose contre ce mastodonte. Son arsenal était impuissant à causer des dégâts importants à l’armure. Même ses répulseurs étaient sans effet – y compris les deux en même temps poussés au maximum de leur puissance. L’armure Firepower était contrôlée cybernétiquement et possédait toute une panoplie d’outils de communication – ainsi qu’un système de sonorisation (hauts-parleurs). Les boot-jets lui permettaient de voler à plus de 300km/h. Elle possédait un système de refroidissement à air pour le confort du porteur. Taggert voyait au travers d’une visière rouge qui faisait également office d’affichage tête haute.
Une machine de guerre dévastatrice : son arsenal ainsi que son informatique tactique embarquée lui a permis de détruire deux chars d’assaut et deux avions de combat en moins de vingt secondes. Dans la parution 230, Firepower "élimina" Iron Man en détruisant l’armure Silver Centurion. Plus tard, après avoir harcelé Stark Enterprise pendant un certain temps, Firepower fut détruite par la nouvelle armure d’Iron Man.
Deux missiles sur chaque jambe ; une ceinture à grenades (12 mini-grenades qui peuvent être lancées depuis leurs supports au niveau des cotes) ; des canon à particules montés sur les deux poignets (chacun plus puissant que les répulseurs d’Iron Man) ; quatre missiles terre-air ; trois packs de missiles situés sur la région des hanches et des cuisses ; au niveau de la poitrine, deux rayons caloriques séparés ; rayons laser larges montés sur les épaules.
L’unité dorsale abrite le missile Terminax, une bombe atomique tactique à haute déflagration et basse radiation capable de détruire l’armure d’Iron Man.
Une nouvelle armure Firepower, portée par un nouvel agent inconnu, fit son apparition dans Iron Man #288 afin de neutraliser le danger environnemental que représentait Atom Smasher. Au final, il fut humilié par Iron Man, tout comme son prédécesseur.
Plus imposante et plus avancée technologiquement que l’originale, cette armure Firepower arborait une bonne peinture orange criard. Elle avait la capacité de voler mais fut livrée la première fois au combat via un B-52.
Elle était armée de deux lasers sur la poitrine, un mini lance-roquette sur l’épaule gauche et un canon en lieu et place de son bras droit. Cette nouvelle armure possédait également un pack de quatre missiles sur le dos ainsi qu’un missile Terminax encore plus puissant que le précédent.
Traduction par Florian Platel.