Santo Marco (le)
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- Nom officiel : la République de Santo Marco (Républica de Santo Marco)
- Population : 198 000 habitants
- Capitale : Santo Marco
- Sites notables : le Palais présidentiel, Navidad Square, les Collines de Montalva, le centre de détention de Coahiba, Iglesia de Cristobal
- Gouvernement : Dictature, autrefois république démocratique
- Principales langues : Anglais, espagnol, portugais, français
- Unité monétaire : le Peso santomarquais
- Principales productions : bois, cacao, café, tourisme
- Défense nationale : les Forces armées du Santo Marco, y compris l’Armée et la Marine du Santo Marco
- Première apparition : VO : X-Men (vol.1) #4 (mars 1964, par Stan Lee & Jack Kirby) – VF : Strange n°4 (avril 1970)
Sommaire
Relations internationales
Le Santo Marco est membre de plusieurs organisations internationales, dont l’UNESCO, les Nations Unies et l’Union latine.
Relations extra-terrestres
Aucune connue.
Population non humaine
Aucune connue.
Surhumains locaux
Aucun connu.
Citoyens notables
Chef des Forces armées du Santo Marco, le général Luis Augustine dirige actuellement le pays au travers d’un régime dictatorial ; Carlos Zapatero est à la tête du Front populaire du Santo Marco, qui s’est constitué et s’oppose à la dictature d’Augsutine. Felix Navidad fut le président élu du Santo Marcos jusqu’à ce que son gouvernement soi renversé par Magnéto (Max Eisenhardt). Le général Alejandro Montalva mena autrefois le Santo Marco sur le chemin de l’indépendance.
Résidents surhumains
Magnéto et sa Confrérie des mauvais mutants – qui incluait à l’époque le Cerveau (Jason Wyngarde), le Crapaud (Mortimer Toynbee), la Sorcière rouge (Wanda Maximoff) et Vif argent (Pietro Maximoff) – résidèrent brièvement dans le pas après avoir renversé le gouvernement légitimement élu.
Criminalité locale
Le trafic de drogues illégales est un problème récurrent à cause de la proximité du pays avec la forêt tropicale amazonienne.
Criminalité internationale
Les mercenaires Jim Rhodes et Parnell Jacobs dirigèrent un réseau de trafic d’armes au bénéfice du dictateur de l’époque du Santo Marco. Magnéto et sa Confrérie des mauvais mutants attaquèrent au début de leur carrière le Santo Marco en commençant par bombarder les collines derrière la capitale à partir d’un bombardier qu’ils avaient volé, puis en créant une armée illusoire pour renverser le gouvernement. Le Santo Marco est un point de passage de plus en plus important pour les drogues illégales produites en Amérique du sud, à destination de l’Europe et des Etats-Unis.
Histoire
Fondé durant la colonisation espagnole de l’Amérique du sud au début du seizième siècle, la petite colonie de Santo Marco passa ensuite entre les mains successives des colonisateurs portugais, hollandais puis français, jusqu’à ce que la région obtienne finalement son indépendance au début du dix-neuvième siècle quand le général Alejandro Montalva prit le pouvoir et chassa la puissance coloniale. Après avoir souffert pendant plusieurs décennies sous sa cruelle dictature, le peuple du Santo Marco se révolta et renversa la régime corrompu de Montalva, instaurant un régime démocratique. Plus tard, Felix Navidad fut élu président et dirigea pacifiquement le pays pendant de nombreuses années jusqu’à ce que son gouvernement soit renversé par le terroriste mutant Magnéto et sa Confrérie des mauvais mutants. Magnéto forma une véritable armée avec les Santomarquais et utilisa celle-ci comme mercenaires. Magnéto déclara également le pays comme un havre pour tous les mutants. Combattu par ses némésis, les X-Men, Magnéto fut contraint de fuir mais non sans avoir activé une bombe nucléaire dans une tentative de détruire totalement le pays pour se venger. Le Santo Marco fut sauvé par Vif argent de la Confrérie, qui ne se reconnaissait pas dans la haine de Magnéto envers les humains et ne voulait pas que, lui et sa sœur, soient associés à un tel massacre. Après le départ de Magnéto, le commandant des forces armées du Santo Marco, le général Luis Augustine, prit le pouvoir, replongeant le pays dans une nouvelle dictature. Pour protester, le Front populaire du Santo Marcos fut organisé par l’activiste humaniste Carlos Zapatero, afin d’alerter le monde sur la situation réelle du Santo Marco. Le Front populaire continue à nourrir du ressentiment envers la Confrérie et les mutants qui ont permis l’ascension au pouvoir d’Augustine. Les tensions devinrent croissantes, les atrocités et règlements de comptes se multipliant de la part des deux parties du conflit. Pour la première fois depuis la première dictature, d’anciens soldats emprisonnés pour meurtre ou viol, comme le sergent R. Belasco, furent libérés afin de remettre en place un système de torture et d’assassinats ciblés au sein du centre de détention de la Coahiba. En même temps, des meurtres de masse furent menés, comme l’incinération de 312 réfugiés à Iglesia de Cristobal, ou les nombreux assassinats menés par les escouades de la mort des Forces armées santomarquaises.
En dépit de la présence d’observateurs internationaux, dont les casques bleus des Nations Unies, le président Augustine réunit les citoyens du pays dans des stades pour y utiliser une Sentinelle et scanner sa population, isolant tous les membres de la tribu dont était issu Zapatero, avant d’ordonner un massacre général. War-Machine (Rhodes) put arrêter le massacre, éliminant plus d’une trentaine de soldats santomarquais, ce qui valut ironiquement à War Machine d’être accusé de crimes de guerre par la cour internationale de La Haye. Dans des circonstances inconnues, Augustine fut remplacé par le président Emilio Duarte, qui s’attira rapidement les foudres des Etats-Unis. Ces derniers tentèrent de le faire assassiner, envoyant des soldats sur place, comme Nuke (Frank Simpson), qui furent au final capturés ou tués. L’opposition démocratique reçut le soutien des X-Men quand Duarte passa une nouvelle loi contre les mutants. Duarte finit par tomber mais le pays plongea dans un chaos généralisé, en dehors d’une petite bande côtière défendue par le mutant Jorge Santiago, même si les sentiments anti-mutants persistaient au sein du pays. Duarte profita du chaos persistant pour revenir au pouvoir et ne tarda pas à utiliser la technologie de Nuke avec ses soldats pour créer le bataillon Nuke qu’il envoya traquer les mutants et les défenseurs de mutants à travers le pays. Ses actions conduisirent à l’intervention de l’équipe de mutants l’Arme X qui put battre le bataillon Nuke, conduisant à la libération de Frank Simpson. Celui-ci échappa à la surveillance de l’Arme X et s’introduisit dans le palais présidentiel où il tua lui-même Duarte sous les yeux de la population. La situation politique actuelle du Santo Marco n’est pas clairement établie.
