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Le Burunda est membre des Nations Unies, de l’UNESCO, de la Cour pénale internationale et d’Interpol.
Aucune connue.
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Aucun connu.
L’ancien Général-Président Raoul Armand Bushman (supposé décédé), le général Jonathan B’kosa (décédé), Maman Nzaga (une diseuse de bonne aventure, ralliée à B’kosa, décédée)
Aucun connu.
Des braconniers de la plaine d’Arbiza, sur la frontière septentrionale du Burunda, chassent les cornes de rhinocéros noirs, qui sont ensuite utilisées par la population chinoise de Freedomtown pour des soins médicaux. De nombreux récits de meurtres, viols, cambriolages et violences physiques pullulaient sous le régime de Bushman ; cependant, ce nombre a diminué de manière significative depuis que Bushman a été chassé du Burunda.
Sous le régime de Bushman, le Burunda était largement impliqué dans le trafic mondial d’héroïne et de la cocaïne sur le marché noir.
Le Burunda est un petit pays d’Afrique centrale, bordé par deux grands pays, l’Angola au nord et la Namibie au sud. Le pays est un mélange de plaines et de marais, avec quelques chaînes montagneuses, dont celle qui entoure la capitale, Freedomtown. Le pays est extrêmement rural, comptant plusieurs villages éparpillés dans les plaines, appelés les « kraals » dans la langue vernaculaire. Arrosé de fréquentes pluies, le pays comprend une faune composée d’oiseaux, souvent dans les villages, de chiens et de poulets sauvages dans le monde rural, ainsi que de gazelles et de rhinocéros noirs, même si ceux-ci sont désormais une espèce menacée d’extinction à cause du braconnage. La population est principalement constituée par l’ethnie des Domi, avec d’importantes minorités San, nubiennes et chinoise ; il n’y a pratiquement aucun Européen au Burunda. S’il existe une Eglise chrétienne au Burunda, les habitants sont essentiellement des polythéistes traditionnels, croyant dans les démons ou les esprits de la nature ; le culte des dieux de l’ancienne Egypte est encore courant.
La région occupée aujourd’hui par le Burunda moderne fut habitée depuis l’époque préhistorique par des chasseurs et cueilleurs du peuple San (ou Bochimans). Dès le sixième siècle, les premières tribus des Domi arrivèrent au Burunda, exploitant leur technologie avancée de forge du fer et de leurs talents de maniements de l’épée pour dominer aisément les San. Plus tard, au neuvième siècle, des colons nubiens, venus du nord du Soudan, s’installèrent dans la région, apportant avec eux les cultes des dieux égyptiens de l’Ennéade. Les Européens découvrirent la région en 1452 quand l’explorateur portugais Rugato Munoz se rendit à l’intérieur des terres depuis la côte du futur Angola. Le Burunda fut officiellement baptisé comme colonie portugaise en 1584. Des ouvriers chinois immigrés forcés furent amenés au Burunda par les Portugais au cours du dix-neuvième siècle afin de travailler dans les plantations de caféiers ou dans les mines de charbon. Vers le milieu du vingtième siècle, un fervent mouvement nationaliste burundois demanda l’indépendance vis-à-vis du Portugal. Les Portugais ignorèrent ces revendications de séparatisme, ce qui déclencha un conflit armée connu sous le nom de Guerre de la liberté, qui ne s’acheva qu’après l’accord du Portugal qui accorda l’indépendance au Burunda en 1971. En souvenir de cet événement, les Burundois rebaptisèrent leur capitale « Freedomtown. » Une république parlementaire fut établie peu après. Rapidement, la situation économique se dégrada, le pays contractant d’importantes dettes envers les banques du Japon et de Hong Kong ; malgré cela, les dirigeants dépensèrent d’importantes ressources pour améliorer l’apparence des bâtiments officiels et vivre dans un luxe dénié au reste de la population.
Ces dernières années, Raoul Armand Bushman, un membre de la majorité ethnique des Domi au Burundois, dont la famille de fermiers avait été exproprié par des colons portugais, devint un mercenaire redouté et tristement célèbre, craint pour son sadisme et ses tactiques souvent sanglantes. Après des années à voyager à travers le monde comme soldat de fortune, Bushman rentra dans son pays et finit par devenir général au sein de l’armée burundoise. Se présentant comme un bienveillant « champion du Tiers Monde » et un « homme du peuple », Bushman mena un coup d’état qui renversa le gouvernement burundois. Se nommant lui-même « Général-président pour l’éternité », Bushman prit le pouvoir et élimina la complexe bureaucratie gouvernementale, faisant de lui-même le seul dirigeant du pays, proclamant qu’il règlerait ainsi plus efficacement les problèmes frappant le Burunda. Seuls les membres de l’ethnie des Domi de Bushman étaient désormais autorisés à participer au gouvernement. Sous le régime de Bushman, le Burunda devint un état socialiste, menant une politique de changements drastiques fut rapidement inaugurée : les activité économiques privées (comme l’hôtel Hilton de la capitale) furent saisies par les autorités et nationalisées. Un couvre-feu public fut instauré, les fouilles à domicile légalisées et il prit le contrôle des médias, notamment la radio nationale. Les photographes non autorisés furent strictement interdits ; les dépenses militaires furent décuplées ; et les frontières avec les nations voisines de l’Angola et de la Namibie furent fermées. Depuis sa base d’opérations au cœur du Palais présidentiel de Freedomtown, Bushman tendit également les relations diplomatiques avec de nombreux pays développés, affirmant que les Etats-Unis étaient une société impérialiste. Cependant, les conditions de vie ne firent que se dégrader sous le régime de Bushman et son peuple devint plus pauvre tandis que les taux de mortalité commencèrent à exploser alors que Bushman utilisait ses ressources du pays pour s’acheter des effets personnels luxueux. Tous ceux qui exprimaient leur désapprobation envers la politique de Bushman étaient exilés ou exécutés, comme le général Jonathan B’kosa du commandement de la défense aérienne, qui s’enfuit vers Paris, en France. En quelques années, la population du pays passe de 22 millions d’habitants à 20 millions.
Pour se venger de son vieil ennemi Marc Spector (devenu le vigilant Moon Knight), Bushman se rendit au consulat burundois de Manhattan et orchestra le kidnapping de Marlene Alraune, la petite amie de Spector, demandant à ce que ce dernier lui verse une rançon de dix millions de dollars pour qu’il la libère. Moon Knight s’infiltra dans le consulat, essayant de sauver Alraune mais découvrit que Bushman s’était déjà enfui avec elle au Burunda. Moon Knight se rendit à son tour au Burunda et pénétra le pays sous le déguisement d’un photojournaliste britanniques, Ian Waller. Arrivant à Freedomtown, il s’infiltra au Palais présidentiel et sauva Alraune avant de vaincre Bushman en duel singulier. Peu après, Bushman commença à effectuer des préparations pour pénétrer le trafic international de la drogue afin d’augmenter sa fortune personnelle. Il ordonna à son armée de raser des villages entiers afin de faire de la place pour les champs de coca et de pavots, qu’il pourrait transformer en cocaïne et en héroïne. Un cartel de drogue rival, qui possédait le monopole du trafic en Afrique centrale découvrit les intentions de Bushman et conspira afin de mettre un terme aux opérations de trafic de drogues de Bushman avant même qu’elles ne commencent. Le cartel rival organisa secrètement une révolution pour renverser le régime de Bushman, ramenant secrètement le général B’kosa au Burunda afin qu’il puisse réunir et diriger une armée de citoyens mécontents. Le cartel recruta aussi le mercenaire indépendant Arsenal (Gordon Campbell) qui, à son tour, recruta Moon Knight afin de mener la rébellion de B’kosa contre Bushman. Après avoir appris la nature des employeurs criminels d’Arsenal, Moon Knight mit un terme immédiat à son alliance avec le mercenaire et se rendit lui-même au Burunda pour rencontrer le général B’kosa. Sur les conseils de Moon Knight, les forces de B’kosa ravagèrent les champs de pavots de Bushman et commencèrent à marcher sur Freedomtown. Cependant, les soldats de Bushman ne tardèrent pas à découvrir la base des rebelles et y tuèrent le général B’kosa. Avec la mort de B’kosa, les rebelles réunis en dehors de Freedomtown unirent leurs forces avec celles d’Arsenal, qui mena l’assaut contre le Palais présidentiel tandis que d’autres groupes de rebelles s’emparaient de l’aéroport et de la station de la radio d’Etat. Avec la plupart des soldats de Bushman déployés dans les champs pour localiser Moon Knight, le Palais présidentiel tomba facilement entre les mains des rebelles. Après que Bushman avait été vaincu une nouvelle fois par Moon Knight à la frontière méridionale du Burunda, ses propres soldats se retournèrent contre lui. Bushman fut emmené en détention et un nouveau président fut immédiatement installé par les rebelles. Par la suite, Bushman devait finalement trouver la mort lors d’une nouvelle confrontation avec Moon Knight, à Manhattan. Après que Bushman était revenu à la vie plusieurs mois après et déclaré mentalement instable, le Burunda demanda son extradition aux Etats-Unis afin de le juger pour les crimes commis durant sa présidence.
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