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En 1940, le Dr Doyle Denton, un officier de police de New York, résolut de livrer les criminels à la justice en utilisant ses connaissances en psychologie criminelle sous l’identité du Fantôme de la pègre. Décidant de concentrer tout d’abord son attention sur le chef de gang Perrone, Doyle se fit passer pour le médecin du criminel, le Dr Stewart, et Perrone lui proposa peu après de rejoindre son gang. Doyle confia l’argent ainsi gagné au véritable Dr Stewart, qu’il envoya prendre des vacances à l’étranger. Perrone vint bientôt trouver « Stewart » pour une blessure par balle mais, tandis qu’il le soignait, Doyle envoya la police faire une descente au repaire de Perrone. Echappant à la police, ce dernier se réfugia dans la petite bourgade de Louisville, où Doyle retrouva sa trace. Blessé lors d’une attaque de banque, Perrone et ses hommes tombèrent sur « Stewart » qui suivit le gangster jusqu’à son nouveau repaire et lui retira la balle, gagnant du temps en lui faisant croire qu’il avait contracté une infection oculaire. « Stewart » ordonna alors à son infirmière de lui rapporter un médicament pour la prétendue infection, qui provoquerait une cécité provisoire, renforçant ainsi la conviction de Perrone d’être gravement malade, tandis que Doyle contactait la police. Mais, refusant le traitement expérimental proposé par « Stewart », Perrone ordonna à l’infirmière du médecin de tester le produit sur elle, pour être sûr que le médicament n’était pas un poison. Malheureusement, l’un des hommes de main de Perrone – également soigné pour une infection – ouvrit ses yeux et découvrit les effets secondaires du produit, ouvrant alors le feu sans réfléchir et déclenchant une fusillade. Doyle menaça Perrone d’un revolver factice le temps que la police arrive et arrête Perrone ainsi que ses hommes. Doyle resta avec son infirmière jusqu’à ce que celle-ci retrouve la vue. Ses activités ultérieures sont inconnues.
Aucun.
La compréhension, de la psychologie de Doyle Denton faisait de lui un arnaqueur hors pair, capable de convaincre les criminels qu’il fréquentait qu’il était un médecin, même s’il ne ressemblait pas à l’homme pour lequel il se faisait passer. Il possédait des connaissances avancées en médecine et chirurgie, lui permettant d’extraire les balles d’un blessé. Il était aussi un officier de police entraîné, sachant manier le revolver.