⏱️ Temps estimé pour la lecture de cet article : 2 minutes.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Jacques Dernier s’engagea au sein de la Résistance française, afin de se battre pour libérer la France de l’occupation allemande. Jacques rencontra le sergent Nick Fury et ses Howling Commandos (les « Howlers ») de l’armée américaine lors d’une mission montée pour libérer la famille du Dr Zenish, qui était gardée en otage par les nazis en Tchécoslovaquie, menaçant de les exécuter si Zenish ne mettait pas un terme à son travail comme expert en explosifs pour les Alliés. Après cette mission de sauvetage, l’avion d’évacuation des Howlers fut détruit, et le groupe dut battre en retraite à bord d’un train allemand se dirigeant vers le nord de la France, avant d’être déraillé par la Résistance. Apprenant la nature de la mission des Howlers, Jacques leur fournit des cartes, des munitions et le transport jusqu’en Normandie, où le commando put regagner l’Angleterre.
Plus tard, les Howlers vinrent au secours de Jacques après que les nazis l’avaient emprisonné à Leonne. Lors d’une mission en Allemagne, les Howlers furent blessés, capturés et incarcérés dans un hôpital allemand où ils purent récupérer avant d’être envoyés à Berlin pour être fusillés en public. Après s’être échappé de l’hôpital, les Howlers suivirent un espion nazi jusqu’à un rendez-vous avec Jacques et la Résistance française. L’espion espérait capturer les membres du réseau et les Howlers ensembles mais il fut démasqué par Jacques. Celui-ci et d’autres résistants combattirent aux côtés des Howlers, détruisant une patrouille allemande. La Résistance abrita les Howlers dans une maison discrète mais ils furent malgré cela découverts par les nazis et Jacques aida les Howlers à les vaincre, avant de fuir de nouveau vers la Grande-Bretagne. Quelques temps après, Jacques sauva les Howlers Eric Koenig et Hans Klaus, égarés sur le continent, les aidant à retrouver le reste de leur commando et, ensembles, ils détruisirent une base de missiles V-2 allemande. Jacques les aida également lors des opérations du débarquement en Normandie, en les aidant à s’échapper à des Allemands, qui avaient réussi à les capturer pour les interroger. Après le débarquement, le sort de Jacques Dernier est inconnu.
Aucun.
Tacticien doué avec un entraînement dans les techniques de combats à mains nues, Jacques Dernier était aussi très compétent dans le maniement des explosifs et d’une très grande variété d’armes françaises, britanniques, allemandes et américaines.