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L’adamantine est un métal extradimensionnel qui ne se trouve, selon les informations actuellement connues, que dans la dimension de l’Olympe, le domaine du panthéon gréco-romain.
L’adamantine est une substance, apparemment métallique, qui présente une extrême résistance, égale à celle du diamant ou d’autres métaux résistants. L’adamantine présente ainsi de nombreuses similitudes avec l’uru, un métal asgardien aux propriétés semblables ; par ailleurs, tous les deux sont utilisés pour forger des armes ou divers équipements et matériels recherchés pour leur durabilité. Il ne peut pas être catégoriquement exclu que l’adamantine et l’uru ne soient qu’une seule et même matière, chacun des deux panthéons lui ayant un nom propre. En revanche, l’adamantine doit être clairement distingué de l’adamantium, un composé métallique d’origine terrestre, lui aussi extrêmement résistant mais qui ne se trouve pas à l’état naturel sous forme de minerais (la confusion est d’autant plus aisée que le terme « adamantium » a été précisément inventé en référence à l’adamantine olympien).
L’adamantine a ainsi été utilisé par les Olympiens pour forger les portes fermant le Tartare, une poche dimensionnelle de l’Hadès, le domaine des morts lié à l’Olympe. Par ailleurs, le dieu Hercule utilise comme arme une masse elle aussi forgée en adamantine. Lors de combats entre celui-ci et le dieu asgardien du Tonnerre, Thor Odinson, il a pu être constaté que la masse d’Hercule et le marteau de l’Asgardien, Mjolnir, sont aussi résistants l’un que l’autre, incapables de s’ébrécher mutuellement (ce qui irait dans le sens de l’identité de l’adamantine olympien et de l’uru asgardien). Enfin, le Titan Cronos, père de Zeus, forgea lui-même une faucille en adamantine avant de s’attaquer à son père Ouranos et de le châtrer au moyen de son arme. Vraisemblablement, d’autres armes olympiennes sont forgées en adamantine mais aucune information sur celles-ci n’est, à ce jour, disponible.