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Encyclopédie - Fever-Pitch

2. Encyclopédie

Temps estimé pour la lecture de cet article : 3 minutes.

• Véritable nom : Inconnu
• Profession : Terroriste
• Statut légal : Citoyen des Etats-Unis (supposé), légalement décédé
• Identité : Secrète
• Autre identité : Aucune
• Lieu de naissance : Inconnu
• Situation de famille : Aucun
• Parents connus : Aucun
• Appartenance à un groupe : Ancien membre des 198, de Géné-Nation, du X-Corps, des Morlocks
• Base d'opérations : Actuellement aucune, autrefois le camp de réfugiés des 198 de l’Institut Xavier (Salem’s Center, Comté de Wetchester, New York, Etats-Unis), mobile.
• Première apparition : VO : Generation X # 50 (avril 1999, par Jay Faerber & Terry Dodson) – VF : X-Men Saga n°14 (mai 2000)
• Taille : 1m75
• Poids : 28 kg
• Yeux : Non applicable
• Cheveux : Non applicable
• Caractéristiques particulières : La manifestation de ses pouvoirs a réduit Fever-Pitch à l’état de squelette enflammé, dépourvu de toute chair.

Histoire

Lorsque la mutation de celui qui allait être connu sous le nom de Fever-Pitch se manifesta pour la première fois, sa chair et sa peau commencèrent immédiatement à se consumer sous l’effet de l’intense chaleur qu’il générait, ne laissant qu’une entité faite de flammes organiques dont la cohésion n’était assurée que par le squelette. La première apparition publique de Fever-Pitch se fit lorsque, au sein du groupe de terroristes mutants appelé Géné-Nation (organisé par Dark Beast), il attaqua un groupe de jeunes mutants à Boston, Génération-X. Il réussit à capturer Chamber et Skin ; au cours du combat, il révéla ses origines, se comparant à Chamber qui, lui aussi, avait souffert physiquement de la manifestation de ses pouvoirs. Cependant, Emma Frost, X-Man (alias Nate Grey) et la nouvelle recrue de Génération-X, Gaïa, se lancèrent contre Géné-Nation pour libérer les membres de Génération-X. Au cours de la bataille, X-Man siphonna les énergies de Fever-Pitch, provoquant apparemment sa mort.

Cependant, Fever-Pitch devait survivre à cette rencontre et refit surface quelques mois après à Berlin. Il y affrontait un autre mutant, Abyss, afin de le capturer pour le vendre à des chercheurs qui souhaitaient le disséquer pour étudier ses pouvoirs. Leur bataille fut interrompue par Avalanche, le Colosse et Surge, du X-Corps, une police mutante paramilitaire dirigée par le Hurleur, et qui captura les deux mutants. Dans le complexe du X-Corps, Fever-Pitch fut reconditionné par Martinique Jason afin de servir au sein du X-Corps. Cependant, Surge se révéla bientôt être Mystique qui avait infiltré l’équipe pour ses propres projets et Fever-Pitch rejoignit son groupe de rebelles dans une campagne de destruction dans Paris. Fever-Pitch s’apprêtait à brûler le Palais du Louvre mais l’arrivée opportune des X-Men, et particulièrement d’Iceberg, fit échec à son projet et Fever-Pitch fut capturé.

Après le Jour-M, Fever-Pitch fit partie de la poignée de mutants à conserver ses pouvoirs. Se sentant menacé – ayant été considéré par les autorités comme une « menace à la sécurité nationale de niveau critique », il se réfugia au camp des 198 ouverts par les X-Men sur le terrain de l’Institut Xavier. Il y vit actuellement sous une tente, qu’il partage avec le Crapaud, même s’il préfère la compagnie d’Erg, Mammomax et Sack. Peu après son installation, Fever-Pitch eut une puce électronique implantée dans son crâne afin de pouvoir se rendre à Salem’s Center ; si la puce fut présentée par l’O*N*E, chargé de surveiller le camp, comme un simple outil de traçage, il s’avéra rapidement que ses fonctionnalités étaient bien plus diverses. Réalisant cela, Fever-Pitch se fit retirer la puce par Mr M (alias Absolom Mercator) avant de le suivre lors de l’exode que ce dernier conduisit. Au cours de la récente attaque d’Apocalypse sur l’Institut Xavier, Fever-Pitch, ainsi que Skids et Long-couteau, se rendirent dans le sphinx d’Apocalypse pour se rallier à ses positions. Cependant, Apocalypse fut défait par les X-Men et les vengeurs et les mutants qui s'étaient ralliés à lui retournèrent au Manoir de Wetchester.

Quelques semaines plus tard, Fever-Pitch faisait partie des nombreux mutants qui se révoltèrent contre l’Escouade des Sentinelles de l’O*N*E au cours de l’attaque conduite par Domino et Shatterstar pour libérer les mutants installés dans le camp des 198 de l’Institut Xavier. En compagnie des évadés, il se rendit dans une ancienne base militaire où le groupe s’enferma, avant de découvrir que la base contenait d’anciennes armes nucléaires. Le mutant Johnny Dee, sur ordre du général Demetrius Lazer, manipula les 198 afin de provoquer l’explosion de la base mais les X-Men, les Sentinelles de l’O*N*E ainsi que le SHIELD, Iron-Man et Miss Marvel (Carol Danvers) réussirent à libérer les prisonniers. Réussissant à échapper aux autorités, Fever-Pitch se fit discret au cours des mois qui suivirent, avant d’être finalement capturé par la Ligue des Sapiens de la Reine Lépreuse, agissant pour le compte de Bastion. Ceux-ci lui injectèrent une nouvelle forme du Virus Legacy et l’abandonnèrent au milieu d’une immense foule de manifestants anti-mutants, espérant que le virus lui ferait perdre le contrôle de ses pouvoirs et, ainsi, ferait des manifestants des martyrs de leur cause. Envoyée sur place avec X-Force pour empêcher le massacre, X-23 repéra l’odeur du mutant mais c’est alors que Fever-Pitch se mit à hurler, les héros arrivant trop tard. Ses pouvoirs atteignirent le niveau critique, projetant une onde massive de flammes qui incinéra de nombreux manifestants ainsi que, vraisemblablement, Fever-Pitch lui-même.

Pouvoirs

Fever-Pitch est capable d’étendre sa flamme biologique hors de son corps, sous la forme de chaleur intense, de décharges explosives ou pour voler. Apparemment ses flammes sont suffisamment intenses pour tuer Malicia dans une réalité alternative. Si, comme il le prétend, ses capacités sont semblables à celles de Chamber alors il n’a besoin ni de manger, ni de boire, ni de respirer. En l’absence de poumons et de cordes vocales, il est également possible qu’il communique de la même manière que Chamber, c’est-à-dire par projection télépathique de ses pensées ; mais ce point reste hypothétique.